Savez-vous comment est composé le mot « humour » ? De deux mots : humilité et amour.
Une version actualisée d’un passage de l’Ancien Testament à ne pas manquer
En 2011 après Jésus-Christ, Dieu visite Noé et lui dit :
Une fois encore, la terre est devenue invivable et surpeuplée. Construis une arche et rassemble un couple de chaque être vivant ainsi que quelques bons humains. Dans six mois, j’envoie la pluie durant quarante jours et quarante nuits, et je détruis tout !!!
Six mois plus tard, Dieu retourne visiter Noé et ne voit qu’une ébauche de construction navale.
Mais, Noé, tu n’as pratiquement rien fait ! Demain il commence à pleuvoir!
Pardonne-moi, Tout Puissant, j’ai fait tout mon possible mais les temps ont changé. J’ai essayé de bâtir l’arche mais il faut un permis de construire et l’inspecteur me fait des ennuis au sujet du système d’alarme anti-incendie. Mes voisins ont créé une association parce que la construction de l’échafaudage dans ma cour viole le règlement de copropriété et obstrue-leur vue. J’ai dû recourir à un conciliateur pour arriver à un accord. L’Urbanisme m’a obligé à réaliser une étude de faisabilité et à déposer un mémoire sur les coûts des travaux nécessaires pour transporter l’arche jusqu’à la mer. Pas moyen de leur faire comprendre que la mer allait venir jusqu’à nous. Ils ont refusé de me croire. La coupe du bois de construction navale s’est heurtée aux multiples Associations pour La Protection de l’Environnement sous le triple motif que je contribuais à la déforestation, que mon autorisation donnée par les Eaux et Forêts n’avait pas de valeur aux yeux du Ministère de l’environnement, et que cela détruisait l’habitat de plusieurs espèces animales. J’ai pourtant expliqué qu’il s’agissait, au contraire de préserver ces espèces, rien n’y a fait.
J’avais à peine commencé à rassembler les couples d’animaux que la SPA et WWF me sont tombés sur le dos pour acte de cruauté envers les animaux parce que je les soustrayais contre leur gré à leur milieu naturel et que je les enfermais dans des pièces trop exiguës.
Ensuite, l’agence gouvernementale pour le Développement Durable a exigé une étude de l’impact sur l’environnement de ce fameux déluge.
Dans le même temps, je me débattais avec le Ministère du Travail qui me reprochait de violer la législation en utilisant des travailleurs bénévoles. Je les avais embauchés car les Syndicats m’avaient interdit d’employer mes propres fils, disant que je ne devais employer que des travailleurs hautement qualifiés et, dans tous les cas, syndiqués.
Enfin le Fisc a saisi tous mes avoirs, prétextant que je me préparais à fuir illégalement le pays tandis que les Douanes menaçaient de m’assigner devant les tribunaux pour « tentative de franchissement de frontière en possession d’espèces protégées ou reconnues comme dangereuses ».
Aussi, pardonne-moi, Tout Puissant, mais j’ai manqué de persévérance et j’ai abandonné ce projet.
Aussitôt les nuages se sont dissipés, un arc-en-ciel est apparu et le Soleil a lui.
Tu renonces à détruire le monde ? demanda Noé.
Inutile, répondit Dieu, l’administration s’en charge.
La petite fille
Une petite fille marchait tous les jours pour aller et revenir de l’école. Bien que ce matin-là, des nuages se formaient, elle se rendit à pied à son école.
Durant l’après-midi, les vents s’élevèrent et les éclairs apparurent. Inquiète, la maman, s’empressa de prendre la route, en voiture, vers l’école.
En route, elle vit apparaître sa petite, qui, à chaque éclair, s’arrêtait, regardait en haut et souriait. Quelques éclairs se succédèrent rapidement et, chaque fois, l’enfant regardait vers l’éclair et souriait.
Sa mère parvint à ses côtés, baissa sa fenêtre et lui demanda :
Mais, que fais-tu là ? L’ enfant de répondre :
« J’essaie d’être belle, car le bon Dieu n’arrête pas de me prendre en photo ! »
Examen de français à l’école primaire (véridique)
Surtout, assez amusant pour ne pas dire drôle !
Réponses d’élèves de primaire :
1. Dans la phrase » Le voleur a volé les pommes « , où est le sujet ?
– En prison
2. Le futur du verbe » je baille » est… ?
– Je dors.
3. Que veux dire l’eau » potable » ?
– C’est celle que l’on peut mettre dans un pot.
4. Qu’est-ce qu’un oiseau migrateur ?
– C’est celui qui ne peut se gratter que la moitié du dos.
5. Que faire la nuit pour éviter les moustiques ?
– Il faut dormir avec un mousquetaire.
6. A quoi sert la peau de la vache ?
– Elle sert à garder la vache ensemble.
7. Pourquoi le chat a-t-il quatre pattes ?
– Les 2 de devant servent à courir, les 2 de derrière à freiner.
8. Quand dit-on » chevaux » ?
– Quand il y a plusieurs chevals.
9. Qui a été le premier colon en Amérique ?
– Christophe.
10. Complétez les phrases suivantes :
A la fin les soldats en ont assez…
– D’être tués.
Je me réveille et à ma grande surprise…
– Je suis encore vivant.
La nuit tombée…
– le renard s’approcha à pas de loup.
11. Pourquoi les requins vivent-ils dans l’eau salée ?
– Parce que dans l’eau poivrée, ils tousseraient tout le temps.
Ma préférée :
12. L’institutrice demande :
Quand je dis » je suis belle « , quel temps est-ce ?
– Le passé, madame.
Dieu n’existe pas !!!
Un homme est allé chez un coiffeur pour couper ses cheveux et sa barbe..
L’homme et le coiffeur ont commencé à parler.
Ils ont parlé de tant de choses et de divers sujets.
Quand ils ont par la suite touché au sujet de Dieu, le coiffeur dit :
Je ne crois pas que Dieu existe..
Pourquoi vous dites ça? a demandé le client..
Bon, vous devez juste sortir dans la rue pour vous rendre compte que Dieu n’existe pas.
Est-ce que, si Dieu existait, y- aurait ‘il tant de personnes malades?
Y aurait-il des enfants abandonnés ? Si Dieu existait, on ne souffrirait pas de douleur.
Je ne peux pas m’imaginer aimer un Dieu qui permettrait tout ça.
Le client a pensé pendant un moment, mais n’a pas répondu parce qu’il n’a pas d’argument.
Le coiffeur a fini son travail et le client sort du magasin….
Juste après, il voit un homme dans la rue avec des cheveux longs, visqueux, sales.
Il semble très sale.
Le client revient et entre dans le magasin du coiffeur encore et il dit au coiffeur :
Tu sais quoi ? Les coiffeurs n’existent pas.
Comment pouvez-vous dire ça ? a demandé le coiffeur étonné. Je suis là et je suis un coiffeur et je viens de vous couper les cheveux.
Non ! rétorque le client. Les coiffeurs n’existent pas ; parce que s’ils existaient, il n’y aurait personne avec de longs cheveux sales comme cet homme qui est dehors.
Ah, mais les coiffeurs existent ! Ce qui se produit, c’est que ces gens ne viennent pas à moi.
Exactement ! affirme le client.. C’est bien ça ! Dieu, aussi, existe ! Ce qui se produit, c’est que les gens ne vont pas chez lui et ne le recherchent pas. C’est pourquoi il y a tellement de douleur et de souffrance dans ce monde.
Un fils à son père, un père à son fils
Un jeune homme venait tout juste d’obtenir son permis de conduire. Il demande donc à son père s’ils pouvaient discuter ensemble de l’utilisation de la voiture familiale…
Son père l’amène dans son bureau et lui propose le marché suivant: » Tu améliores ton rendement scolaire, tu étudies la bible et tu te fais couper les cheveux. Ensuite, nous parlerons de la voiture. Un mois plus tard, le garçon revient à la charge et, encore, son père l’amène dans son bureau. Le père ne tarde pas à prendre la parole. » Mon fils, je suis très fier de toi. Ça va beaucoup mieux à l’école; tu t’es concentré sur la bible plus que je ne l’aurais cru, mais tu ne t’es pas fait couper les cheveux. »
Le jeune réplique : « Tu sais, papa, j’ai réfléchi à cela…
Samson avait les cheveux longs… Moïse avait les cheveux longs… Noé avait les cheveux longs… et Jésus avait les cheveux longs « …
Et du tac au tac, le père réplique : « Et ils se déplaçaient tous à pied ! »
Au Père Spicace
Un grand malheur est arrivé à l’abbaye et j’ai la pénible mission de vous en faire part.
Mardi soir, pendant que l’abbé Nédictine donnait les dernières grâces, l’abbé Quille perdit l’équilibre dans l’escalier et tomba inanimé dans les bras du Père Iscope. Les révérends pères, en perdant l’abbé Quille, perdaient leur seul soutien.
Un seul restait joyeux : le père Fide. Quant à l’abbé Tise, il n’y comprenait rien. Il aurait bien voulu que le saint Plet l’aide à comprendre ce qui s’était passé mais rien n’y fit.
Après l’accident de l’abbé Quille, on alla chercher le Père Manganate et le Père Itoine, les deux médecins de l’abbaye. Ils pensaient ranimer le malheureux mais leurs efforts furent vains et celui-ci décéda peu après.
Le lendemain fut donc célébré son enterrement. Chacun fut appelé à l’abbaye par les célèbres cloches du Père Sonnage. La messe fût dite sur une musique de l’abbé Thoven. Le père Ocquet fut chargé du sermon et comme il n’y avait pas de chaire, il monta sur les épaules du Père Choir. A la fin de l’homélie, le Père Cepteur fit la quête et remit les dons ainsi recueillis à notre frère africain, l’abbé N’Pé.
Après la messe, une grande discussion s’engagea pour le transport de la bière : l’abbé Canne et l’abbé Trave voulaient passer par les champs. Le Père Clus s’y opposa. L’abbé Casse en fut enchanté. Le Père San avec sa tête de turc ne voulait rien entendre. Le Père Vers et le Père Nicieux semaient le doute dans les esprits.
Finalement on décida que, comme à l’accoutumée, l’abbé Taillière serait chargé du transport du corps du défunt. Devant la tombe creusée par le Père Forateur et en l’absence du Père Missionnaire, l’abbé Nédiction donna l’absolution. Le Père Venche et l’abbé Gonia avaient joliment fleuri la tombe.
Celle-ci fût recouverte d’une belle pierre tombale préparée par l’abbé Tonneuse. Sur le chemin du retour, le spectacle fut déchirant. Le Père Pendiculaire était plié en deux de douleur et de chagrin. L’abbé Vitré était lui aussi plein de larmes. La Mère Cédés , invitée pour l’occasion, fermait la marche en compagnie du frère du Père Igord.
A l’arrivée, le Père Sil et l’abbé Chamelle préparèrent le repas tout en consultant les livres culinaires du saint Doux. Le Père Nod et le Père Collateur servirent à boire et chacun pût se remettre de ses émotions.
Signé: L’abbé BICI !
Les 3 Cadeaux…
Trois frères quittent la maison en Italie pour aller s’installer en Amérique et prospérer.
Ils se retrouvent plus tard et discutent des cadeaux qu’ils ont pu envoyer à leur vieille mère en Italie.
Le premier dit :
J’ai fait bâtir une grande maison pour mère.
Le deuxième dit :
Je lui ai envoyé une Mercedes avec un chauffeur.
Le troisième sourit et dit :
Je vous ai battu tous les deux. Vous savez comment mère aime la Bible, et vous savez qu’elle ne voit plus très bien. Je lui ai envoyé un perroquet qui peut réciter toute la Bible. Ça a pris 12 ans à 20 moines dans un monastère pour lui enseigner ça. J’ai dû payer 1 000 000$ !
Un peu plus tard, la mère envoie des lettres de remerciements :
« Marco, écrit-elle au premier fils, la maison que tu m’as fait bâtir est trop grande. Je ne vis que dans une pièce mais je dois entretenir toute la maison! »
« Angelo, écrit-elle au deuxième fils, je suis trop vieille pour voyager. Je reste à la maison tout le temps, alors je n’utilise jamais la Mercedes. Et le chauffeur s’ennuie beaucoup! »
« Marcello, écrit-elle à son troisième fils, tu as été le seul de mes fils à vraiment comprendre ce que ta mère désirait. Ton poulet était vraiment délicieux! »
DES PAS DANS LE SABLE
Une nuit, je fis un rêve :
Je marchais sur la plage avec mon Seigneur. Sur le ciel noir, des épisodes de ma vie furent projetés, comme sur un immense écran. Et sur le sable je voyais à chaque fois 2 traces de pas : Les miens, et ceux de mon Seigneur. Après la dernière scène de ma vie, je me retournai. Je fus surpris de voir par endroits les traces d’une seule personne. Je me rendis compte que je traversais alors les moments les plus difficiles et les plus tristes de ma vie.
Inquiète, je demandai au Seigneur : « Le jour où j’ai décidé de te suivre Tu m’as dit que tu marcherais toujours avec moi. Mais je découvre maintenant qu’aux pires moments de ma vie il n’y a les empreintes que d’une seule personnes. Pourquoi m’as-tu abandonnée lorsque j’avais le plus besoin de Toi ? »
Il me répondit : « Mon enfant chérie, je t’aime et je ne t’abandonnerai jamais, jamais, jamais, surtout pas lorsque tu passe par l’épreuve là où une seule personne a marqué le sable de ses pas. c’était Moi qui te portais. »
(Margaret Fishback Powers)